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Un compagnon inattendu: Les frères Holland Tome 1
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By Toni Griffin
Release Date: December 19, 2015
Word Count: 43,323
Translator: Jade Baiser
Editor: Erika Orrick
Cover Artist: Meredith Russell
Brian Townsend passe une mauvaise semaine. Rejeté par ses parents, exclu de sa meute et maintenant sa voiture tombe en panne sur son chemin vers le sud. Que pourrait-il lui arriver de pire ? Il le découvre bientôt lorsque la police débarque et que le séduisant flic se révèle être son compagnon. Par contre, il ne s’attendait pas à ce que ce même compagnon se détourne sans même lui jeter un regard.
Marcus Holland passe une mauvaise semaine. Il a rompu avec sa petite amie, puis il s’est fait remonter les bretelles par sa mère qui veut qu’il s’installe et qu’il ait des enfants. Tout ce qu’il souhaite, c’est rentrer chez lui et se détendre. Mais il ne sait pas que le dernier appel auquel il répond va changer sa vie à jamais.
Marcus peut-il accepter le fait que son compagnon est un homme ou doit-il risquer de perdre Brian pour toujours? Cependant, il y a des membres de la meute qui ne sont pas entièrement satisfaits de cet accouplement.
Release Date: December 19, 2015
Word Count: 43,323
Translator: Jade Baiser
Editor: Erika Orrick
Cover Artist: Meredith Russell
Brian Townsend passe une mauvaise semaine. Rejeté par ses parents, exclu de sa meute et maintenant sa voiture tombe en panne sur son chemin vers le sud. Que pourrait-il lui arriver de pire ? Il le découvre bientôt lorsque la police débarque et que le séduisant flic se révèle être son compagnon. Par contre, il ne s’attendait pas à ce que ce même compagnon se détourne sans même lui jeter un regard.
Marcus Holland passe une mauvaise semaine. Il a rompu avec sa petite amie, puis il s’est fait remonter les bretelles par sa mère qui veut qu’il s’installe et qu’il ait des enfants. Tout ce qu’il souhaite, c’est rentrer chez lui et se détendre. Mais il ne sait pas que le dernier appel auquel il répond va changer sa vie à jamais.
Marcus peut-il accepter le fait que son compagnon est un homme ou doit-il risquer de perdre Brian pour toujours? Cependant, il y a des membres de la meute qui ne sont pas entièrement satisfaits de cet accouplement.
Extrait - Prologue
Brian n'arrivait pas à croire à quel point il se sentait nerveux. Il avait passé en revue dans sa tête à plusieurs reprises les avantages et les inconvénients de ce qu'il allait faire. Cela se résumait toujours à un point. Il voulait que ses parents sachent qui était vraiment leur fils. Oui, il était un peu inquiet de le leur dire, mais il savait que ses parents l'aimaient et qu'ils accepteraient qui il était. Son père serait peut-être un peu contrarié au début, mais il était sûr qu'il finirait par comprendre.
Il frappa à la porte de la maison de ses parents. Il les avait appelés un peu plus tôt et avait parlé avec sa mère qui l'avait invité à dîner. Il se disait que c'était une occasion comme une autre de lâcher sa petite bombe.
— Entre, mon cœur, l'appela sa mère de l'intérieur.
Il sourit en ouvrant la porte et une odeur d'oignons et d'ail qui mijotaient lui assaillit les sens. Brian aimait la cuisine de sa mère. Elle lui avait appris tout ce qu'il savait, et il lui serait éternellement reconnaissant de ne jamais avoir à se laisser mourir de faim.
Il traversa la maison. Le dernier match de football du week-end était à la télévision, son père le regardant assis dans son vieux fauteuil miteux en velours vert avec une bière à la main.
— Bonjour papa.
— Hé, fiston, prends une bière et viens regarder le reste du match avec moi, dit son père sans quitter l'écran des yeux.
— Bien sûr, papa, je vais juste aller dire bonjour à maman d'abord.
Son père grogna et Brian se tourna et parcourut le court trajet jusqu'à la cuisine, son nez suivant le délicieux arôme. Il entra dans la pièce et s'approcha de sa mère avant de l'embrasser sur la joue et de la prendre brièvement dans ses bras.
— Quelque chose sent bon, maman.
— Oh, je t'en prie. Ce n'est rien d'extraordinaire, juste un plat de pâtes au poulet. Tu sais combien ton père aime les pâtes.
En effet. Son père aurait mangé des pâtes à chaque repas s'il le pouvait. Considérant que c'était un loup-garou, c'était plus que surprenant. La plupart des loups qu'il connaissait, lui y compris, aimaient avoir un bon gros steak pour le dîner. Cela ne voulait pas dire que Brian n'appréciait pas également d'autres aliments, mais il revenait toujours au steak, et son père aux pâtes.
Il frappa à la porte de la maison de ses parents. Il les avait appelés un peu plus tôt et avait parlé avec sa mère qui l'avait invité à dîner. Il se disait que c'était une occasion comme une autre de lâcher sa petite bombe.
— Entre, mon cœur, l'appela sa mère de l'intérieur.
Il sourit en ouvrant la porte et une odeur d'oignons et d'ail qui mijotaient lui assaillit les sens. Brian aimait la cuisine de sa mère. Elle lui avait appris tout ce qu'il savait, et il lui serait éternellement reconnaissant de ne jamais avoir à se laisser mourir de faim.
Il traversa la maison. Le dernier match de football du week-end était à la télévision, son père le regardant assis dans son vieux fauteuil miteux en velours vert avec une bière à la main.
— Bonjour papa.
— Hé, fiston, prends une bière et viens regarder le reste du match avec moi, dit son père sans quitter l'écran des yeux.
— Bien sûr, papa, je vais juste aller dire bonjour à maman d'abord.
Son père grogna et Brian se tourna et parcourut le court trajet jusqu'à la cuisine, son nez suivant le délicieux arôme. Il entra dans la pièce et s'approcha de sa mère avant de l'embrasser sur la joue et de la prendre brièvement dans ses bras.
— Quelque chose sent bon, maman.
— Oh, je t'en prie. Ce n'est rien d'extraordinaire, juste un plat de pâtes au poulet. Tu sais combien ton père aime les pâtes.
En effet. Son père aurait mangé des pâtes à chaque repas s'il le pouvait. Considérant que c'était un loup-garou, c'était plus que surprenant. La plupart des loups qu'il connaissait, lui y compris, aimaient avoir un bon gros steak pour le dîner. Cela ne voulait pas dire que Brian n'appréciait pas également d'autres aliments, mais il revenait toujours au steak, et son père aux pâtes.